Pour une fois et c’est une première, nous reprendrons ici le contenu d’un documentaire fort intéressant et impartial – diffusé sur France 5, le 2 juin dernier et réalisé par Maëlle Joulin – pour en écrire un article.
Le titre nous a d’abord amusés, mais au fil du documentaire, l’amusement et le souvenir du plaisir à offrir des bonbons à son bambin ont laissé place au dépit. Qu’est-ce qui est rappelé et qu’apprend-on de nouveau ?
Les bonbons représentent un véritable anti-déprime pour la moitié des Français. Rien d’étonnant, puisque les bonbons, c’est d’abord du sucre, et le sucre, une fois dans le sang, vient comme cliquer sur la zone de récompense dans le cerveau : il y a alors sécrétion de dopamine, le neurotransmetteur qui donne bonne mine. D’où le poids de 7 kg de bonbons consommés par seconde, et seulement en France.
Mais le seul sucre, certes raffiné, voire le plus souvent issu du cracking du blé, n’est pas le plus problématique en soi dans la liste des ingrédients, s’il est le seul. Un des gros problèmes avec les bonbons industriels aujourd’hui – 80 % du marché – est l’association d’ingrédients qui ne font pas bon ménage pour la santé, et particulièrement celle de nos enfants : sucre + graisse (le plus souvent de palme, donc saturée) ou sucre + acide, et le pompon du bonbon : sucre + graisse + sel. Nous parlerons plus tard de la gélatine de porc, ainsi que des additifs, et notamment du E171 ou dioxyde de titane, rien de moins qu’une bonne grosse nanoparticule. Revenons à nos ingrédients, que nous pourrions qualifier de basiques.
L’association du sucre et du gras donne lieu à un mécanisme de stockage immédiat. En effet, le sucre déclenche l’insuline, l’hormone pancréatique du stockage du sucre dans les cellules… sous forme de graisse. Et ladite graisse étant, le plus souvent, celle de palme, donc saturée, on a là encore un peu plus de risques de fabriquer des bouchons – des plaques d’athérome – dans les vaisseaux sanguins et, à terme, de provoquer des accidents cardiovasculaires. Et le pompon du bonbon nous disions, c’est quand les fabricants de douceurs ajoutent à ce mélange, déjà explosif, du sel, celui-ci entraînant un mécanisme hydrosodé, soit une chance supplémentaire d’avoir un accident cardiovasculaire. Et qui consomme le plus de bonbons ? Les enfants et les adolescents.
L’autre mélange explosif, non plus pour le cœur mais pour les cavités dentaires, autrement dit les caries, est la formule : sucre + acide. Les conséquences sur les dents sont fatales. Des « bombes à caries » s’effraie une spécialiste, qui note une explosion de patients de plus en plus jeunes, de caries de plus en plus nombreuses (jusqu’à la moitié des dents cariées) et une problématique devenue « une pathologie infectieuse de l’enfance ». En effet, d’un côté, le pH acide du bonbon fragilise sévèrement l’émail des dents en le déminéralisant, de l’autre, le sucre favorise la prolifération des bactéries génératrices de caries, qui adorent l’acidité, tout comme les enfants adorent les bonbons.
Un ingrédient, ou plutôt une molécule, a fait son apparition dans la composition de certains bonbons, notamment ceux qui brillent ou de couleur blanche, c’est le E171 ou dioxyde de titane. Il s’agit d’une nanoparticule, infinitésimalement petite, au point d’être le plus souvent invisible dans la liste des ingrédients. Or, le dioxyde de titane est avéré toxique. Des scientifiques ont établi un lien entre celui-ci et des troubles immunitaires, il serait aussi à l’origine de lésions précancéreuses. De fait, ils demandent son interdiction, qui devrait être effective dans les mois à venir, aux dires des fabricants. Vous me direz, c’est la dose qui fait le poison, et vous aurez raison. Mais le problème aujourd’hui vient probablement de l’effet cocktail, qui risque de faire son poids dans la balance des conséquences sanitaires de ces substances, qui n’ont que faire dans un organisme humain. En effet, certaines nanoparticules parviennent à franchir la barrière intestinale et à pénétrer dans les cellules humaines. Le chemin n’est ensuite plus très loin pour atteindre les cellules du cerveau, par la barrière hémato-encéphalique.
Le problème se pose du côté de la composition de ces friandises, qui peuvent compter jusqu’à 10 ingrédients différents, mais il en est un autre, probablement la résultante du premier : l’addiction aux goûts très sucrés, très colorés ou très acides. Les consommateurs, et notamment les plus jeunes, ont « soif de sensations » rapporte le documentaire, pas de bonbons aux colorants naturels et peu sucrés. Un jeu de société qui s’arrache chez les jeunes en atteste : le Bean Boozled, made in USA. Une roue et quantité de bonbons colorés. Si vous tombez sur la « saveur délicieuse », vous pourrez vous délecter d’un bonbon au goût de pop-corn au beurre, de citron vert, de pudding au chocolat, de poire juteuse ou encore, tutti-frutti. Si, par malchance, vous tombez sur la « saveur abominable », il faudra avoir le courage d’avaler un bonbon au goût de chaussettes puantes, d’œuf pourri, de nourriture pour chien, de vomi ou encore de crotte de nez et ce, sans recracher. Auquel cas, vous aurez perdu. Il s’en vend environ 2 000 boîtes par jour.
Ingrédients des bonbons fournis dans une boîte de Bean Boozled :
Sucre, sirop de glucose, amidon de maïs modifié, arôme purée concentrée de pêche, colorants (E102* [tartrazine] E102*, E110*, E129*, E132, E133, E150d, E171), régulateurs d’acidité (E325, E330, E331), sel, chocolat (sucre, pâte de cacao, beurre de cacao, émulsifiant E322 [lécithine de soja], régulateurs d’acidité (E330, E331), arôme jus concentrés (citron vert, poire), chocolat (sucre, liqueur de chocolat, beurre de cacao, émulsifiant (E322) soja, arôme), agents de glaçage (E901, E903, E904), concentrés (pomme, carotte pourpre, hibiscus), poudre de cacao, noix de coco, antioxydant E300 (vitamine C), dextrine de tapioca, sel, chocolat (35% minimum de cacao). *Peut avoir des effets indésirables sur l’activité et l’attention chez les enfants.
Bonbon par couleur : saveur délicieuse / abominable
– verte : citron vert / gazon tondu
– bleue : baie bleue / dentifrice
– jaune : pop-corn au beurre / œuf pourri
– marron : pudding au chocolat / nourriture pour chien
– orange : pêche / vomi
– verte pâle : poire juteuse / crotte de nez
– blanche : noix de coco / lingettes de bébé
– multicolore : tutti-frutti / chaussettes puantes
À côté du Bean Boozled rivalisent les bonbons « artisanaux » et parmi eux, les bonbons « qui soignent ». Ces derniers contiennent du sucre, de la gomme arabique, issue d’une espèce d’acacia d’Afrique, et des plantes médicinales, comme l’eucalyptus contre les maux de gorge, la propolis contre les affections respiratoires ou encore, la réglisse contre les troubles digestifs. Les bonbons au Rescue® (Fleurs de Bach), quant à eux, apaisent en cas de coup de stress. Ces bonbons ont le mérite de compter peu d’ingrédients, d’être peu sucrés et dépourvus d’additifs et de colorants alimentaires. Mais faire machine arrière, après des mois voire des années de bonbons ultra sucrés ou super acides, n’est pas chose facile. La résistance au changement et la mémoire des goûts sont-elles réversibles ? Pas simple. Les premiers bonbons au miel et à la réglisse paraissent très loin au vu des bonbons actuels, industriels, aux nombreux ingrédients dont la plupart sont artificiels. Alors, finis les bonbons au seul sucre et autres ingrédients naturels ? Bonne nouvelle, non. Il est un regain du bonbon « traditionnel » ou issu d’une industrie soft, en fabriquant des bonbons avec seulement trois ou quatre ingrédients, dont des colorants naturels à base de fruits, peu acides, de la gomme arabique et non plus de la gélatine de porc, issue de la peau de l’animal dépecé.
Naturel, certes, mais ces douceurs restent un apport conséquent en sucre, qui modifie le pH ou potentiel hydrogène, autrement dit l’acidité de l’organisme, donc sa minéralisation (celle des dents notamment), et sollicite le pancréas, par la sécrétion d’insuline. Jusqu’à 2 ou 3 bonbons, de préférence, artisanaux ou sans nano ni acidité et aux colorants naturels par jour sont sans conséquence, nous rassure un endocrinologue interrogé dans le documentaire.
Nous terminerons sur la tradition, qui peut avoir du bon, jusque dans ses bonbons. En effet, à chaque région son bonbon qui, si sa fabrication reste artisanale, vous procurera le plaisir d’une friandise à laisser fondre avec délectation ou à croquer par gourmandise, ou alors ravivera un souvenir d’enfance. La liste est longue (et ici non exhaustive) : à Nantes, faites-vous plaisir avec une rigolette, à Montpellier avec une grisette, à Vichy une pastille, en Ardèche un marron glacé, dans la Drome du nougat, dans le Morbihan une niniche, à Tours un sucre d’orge, à Niort de l’angélique, à Toulouse une violette, à Carpentras un berlingot ou encore, à Cambrai une bêtise.
Quitte à se faire plaisir, autant le faire en harmonie avec sa santé et l’environnement. Quant aux enfants, (ré)initiez-les aux saveurs simples et saines, à l’occasion ou aux occasions, avec des bonbons de qualité, pour préserver leurs dents, leur pancréas, leur cœur, en somme, leur santé.
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Pour une fois et c’est une première, nous reprendrons ici le contenu d’un documentaire fort intéressant et impartial – diffusé sur France 5, le 2 juin dernier et réalisé par Maëlle Joulin – pour en écrire un article.
Le titre nous a d’abord amusés, mais au fil du documentaire, l’amusement et le souvenir du plaisir à offrir des bonbons à son bambin ont laissé place au dépit. Qu’est-ce qui est rappelé et qu’apprend-on de nouveau ?
Les bonbons représentent un véritable anti-déprime pour la moitié des Français. Rien d’étonnant, puisque les bonbons, c’est d’abord du sucre, et le sucre, une fois dans le sang, vient comme cliquer sur la zone de récompense dans le cerveau : il y a alors sécrétion de dopamine, le neurotransmetteur qui donne bonne mine. D’où le poids de 7 kg de bonbons consommés par seconde, et seulement en France.
Mais le seul sucre, certes raffiné, voire le plus souvent issu du cracking du blé, n’est pas le plus problématique en soi dans la liste des ingrédients, s’il est le seul. Un des gros problèmes avec les bonbons industriels aujourd’hui – 80 % du marché – est l’association d’ingrédients qui ne font pas bon ménage pour la santé, et particulièrement celle de nos enfants : sucre + graisse (le plus souvent de palme, donc saturée) ou sucre + acide, et le pompon du bonbon : sucre + graisse + sel. Nous parlerons plus tard de la gélatine de porc, ainsi que des additifs, et notamment du E171 ou dioxyde de titane, rien de moins qu’une bonne grosse nanoparticule. Revenons à nos ingrédients, que nous pourrions qualifier de basiques.
L’association du sucre et du gras donne lieu à un mécanisme de stockage immédiat. En effet, le sucre déclenche l’insuline, l’hormone pancréatique du stockage du sucre dans les cellules… sous forme de graisse. Et ladite graisse étant, le plus souvent, celle de palme, donc saturée, on a là encore un peu plus de risques de fabriquer des bouchons – des plaques d’athérome – dans les vaisseaux sanguins et, à terme, de provoquer des accidents cardiovasculaires. Et le pompon du bonbon nous disions, c’est quand les fabricants de douceurs ajoutent à ce mélange, déjà explosif, du sel, celui-ci entraînant un mécanisme hydrosodé, soit une chance supplémentaire d’avoir un accident cardiovasculaire. Et qui consomme le plus de bonbons ? Les enfants et les adolescents.
L’autre mélange explosif, non plus pour le cœur mais pour les cavités dentaires, autrement dit les caries, est la formule : sucre + acide. Les conséquences sur les dents sont fatales. Des « bombes à caries » s’effraie une spécialiste, qui note une explosion de patients de plus en plus jeunes, de caries de plus en plus nombreuses (jusqu’à la moitié des dents cariées) et une problématique devenue « une pathologie infectieuse de l’enfance ». En effet, d’un côté, le pH acide du bonbon fragilise sévèrement l’émail des dents en le déminéralisant, de l’autre, le sucre favorise la prolifération des bactéries génératrices de caries, qui adorent l’acidité, tout comme les enfants adorent les bonbons.
Un ingrédient, ou plutôt une molécule, a fait son apparition dans la composition de certains bonbons, notamment ceux qui brillent ou de couleur blanche, c’est le E171 ou dioxyde de titane. Il s’agit d’une nanoparticule, infinitésimalement petite, au point d’être le plus souvent invisible dans la liste des ingrédients. Or, le dioxyde de titane est avéré toxique. Des scientifiques ont établi un lien entre celui-ci et des troubles immunitaires, il serait aussi à l’origine de lésions précancéreuses. De fait, ils demandent son interdiction, qui devrait être effective dans les mois à venir, aux dires des fabricants. Vous me direz, c’est la dose qui fait le poison, et vous aurez raison. Mais le problème aujourd’hui vient probablement de l’effet cocktail, qui risque de faire son poids dans la balance des conséquences sanitaires de ces substances, qui n’ont que faire dans un organisme humain. En effet, certaines nanoparticules parviennent à franchir la barrière intestinale et à pénétrer dans les cellules humaines. Le chemin n’est ensuite plus très loin pour atteindre les cellules du cerveau, par la barrière hémato-encéphalique.
Le problème se pose du côté de la composition de ces friandises, qui peuvent compter jusqu’à 10 ingrédients différents, mais il en est un autre, probablement la résultante du premier : l’addiction aux goûts très sucrés, très colorés ou très acides. Les consommateurs, et notamment les plus jeunes, ont « soif de sensations » rapporte le documentaire, pas de bonbons aux colorants naturels et peu sucrés. Un jeu de société qui s’arrache chez les jeunes en atteste : le Bean Boozled, made in USA. Une roue et quantité de bonbons colorés. Si vous tombez sur la « saveur délicieuse », vous pourrez vous délecter d’un bonbon au goût de pop-corn au beurre, de citron vert, de pudding au chocolat, de poire juteuse ou encore, tutti-frutti. Si, par malchance, vous tombez sur la « saveur abominable », il faudra avoir le courage d’avaler un bonbon au goût de chaussettes puantes, d’œuf pourri, de nourriture pour chien, de vomi ou encore de crotte de nez et ce, sans recracher. Auquel cas, vous aurez perdu. Il s’en vend environ 2 000 boîtes par jour.
Ingrédients des bonbons fournis dans une boîte de Bean Boozled :
Sucre, sirop de glucose, amidon de maïs modifié, arôme purée concentrée de pêche, colorants (E102* [tartrazine] E102*, E110*, E129*, E132, E133, E150d, E171), régulateurs d’acidité (E325, E330, E331), sel, chocolat (sucre, pâte de cacao, beurre de cacao, émulsifiant E322 [lécithine de soja], régulateurs d’acidité (E330, E331), arôme jus concentrés (citron vert, poire), chocolat (sucre, liqueur de chocolat, beurre de cacao, émulsifiant (E322) soja, arôme), agents de glaçage (E901, E903, E904), concentrés (pomme, carotte pourpre, hibiscus), poudre de cacao, noix de coco, antioxydant E300 (vitamine C), dextrine de tapioca, sel, chocolat (35% minimum de cacao).
*Peut avoir des effets indésirables sur l’activité et l’attention chez les enfants.
Bonbon par couleur : saveur délicieuse / abominable
– verte : citron vert / gazon tondu
– bleue : baie bleue / dentifrice
– jaune : pop-corn au beurre / œuf pourri
– marron : pudding au chocolat / nourriture pour chien
– orange : pêche / vomi
– verte pâle : poire juteuse / crotte de nez
– blanche : noix de coco / lingettes de bébé
– multicolore : tutti-frutti / chaussettes puantes
À côté du Bean Boozled rivalisent les bonbons « artisanaux » et parmi eux, les bonbons « qui soignent ». Ces derniers contiennent du sucre, de la gomme arabique, issue d’une espèce d’acacia d’Afrique, et des plantes médicinales, comme l’eucalyptus contre les maux de gorge, la propolis contre les affections respiratoires ou encore, la réglisse contre les troubles digestifs. Les bonbons au Rescue® (Fleurs de Bach), quant à eux, apaisent en cas de coup de stress. Ces bonbons ont le mérite de compter peu d’ingrédients, d’être peu sucrés et dépourvus d’additifs et de colorants alimentaires. Mais faire machine arrière, après des mois voire des années de bonbons ultra sucrés ou super acides, n’est pas chose facile. La résistance au changement et la mémoire des goûts sont-elles réversibles ? Pas simple. Les premiers bonbons au miel et à la réglisse paraissent très loin au vu des bonbons actuels, industriels, aux nombreux ingrédients dont la plupart sont artificiels. Alors, finis les bonbons au seul sucre et autres ingrédients naturels ? Bonne nouvelle, non. Il est un regain du bonbon « traditionnel » ou issu d’une industrie soft, en fabriquant des bonbons avec seulement trois ou quatre ingrédients, dont des colorants naturels à base de fruits, peu acides, de la gomme arabique et non plus de la gélatine de porc, issue de la peau de l’animal dépecé.
Naturel, certes, mais ces douceurs restent un apport conséquent en sucre, qui modifie le pH ou potentiel hydrogène, autrement dit l’acidité de l’organisme, donc sa minéralisation (celle des dents notamment), et sollicite le pancréas, par la sécrétion d’insuline. Jusqu’à 2 ou 3 bonbons, de préférence, artisanaux ou sans nano ni acidité et aux colorants naturels par jour sont sans conséquence, nous rassure un endocrinologue interrogé dans le documentaire.
Nous terminerons sur la tradition, qui peut avoir du bon, jusque dans ses bonbons. En effet, à chaque région son bonbon qui, si sa fabrication reste artisanale, vous procurera le plaisir d’une friandise à laisser fondre avec délectation ou à croquer par gourmandise, ou alors ravivera un souvenir d’enfance. La liste est longue (et ici non exhaustive) : à Nantes, faites-vous plaisir avec une rigolette, à Montpellier avec une grisette, à Vichy une pastille, en Ardèche un marron glacé, dans la Drome du nougat, dans le Morbihan une niniche, à Tours un sucre d’orge, à Niort de l’angélique, à Toulouse une violette, à Carpentras un berlingot ou encore, à Cambrai une bêtise.
Quitte à se faire plaisir, autant le faire en harmonie avec sa santé et l’environnement. Quant aux enfants, (ré)initiez-les aux saveurs simples et saines, à l’occasion ou aux occasions, avec des bonbons de qualité, pour préserver leurs dents, leur pancréas, leur cœur, en somme, leur santé.
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