Taboulé au petit épeautre
Le taboulé est un classique des salades estivales, pour sa praticité et sa fraîcheur. Nous l’avons un peu revisité
Blog de pédagogie alimentaire qui interroge l'interdépendance entre aliment, corps, santé et environnement
Le taboulé est un classique des salades estivales, pour sa praticité et sa fraîcheur. Nous l’avons un peu revisité
Pour beaucoup, le vinaigre n’est autre que le compagnon de l’huile, pour préparer une vinaigrette.
Soupe froide emblématique du Sud de l’Espagne et au Portugal, le gaspacho est l’une de ces recettes aux multiples bienfaits
Après un peu plus de 3 ans d’existence, ce blog compte plus de 50 articles inédits et autant de recettes de cuisine. Il est donc grand temps, pour l’École des Aliments, de se tourner vers ses lecteurs et de leur laisser la parole.
Les grosses chaleurs arrivent et avec elles, une régulière sensation de soif. Entre deux verres d’eau, siroter un verre de bissap, l’une des boissons emblématiques de Afrique de l’Ouest avec le ginger, est toujours un grand moment.
Au printemps, il est usuel de procéder à un grand ménage, qui porte d’ailleurs son nom, après plusieurs mois de saison froide, pendant lesquels tout a été réduit au minimum pour dépenser seulement l’énergie nécessaire.
C’est un peu long à préparer, mais que c’est bon ! Le fondant du riz associé aux parfums des artichauts, des alliums (ail et oignon) et du persil d’un côté, au crémeux de la crème et du parmesan de l’autre : un régal.
Des fleurs sont cuisinées et consommées depuis des milliers d’années. Les Grecs et les Romains, comme les Chinois et les Indiens ornaient certains de leurs plats avec des fleurs comestibles. À ce jour, pas moins de 250 fleurs sont répertoriées comme étant comestibles.
Qu’ils soient à base de fleurs de sureau, de menthe poivrée, d’acacia, de glycine ou de courgette, ces beignets sont un enchantement en soi. Le printemps est enfin là, cette recette pourrait être une manière joyeuse et gourmande de célébrer son arrivée.
Dans la Grèce antique, la noix portait le nom de karuon, dérivé du mot kara, signifiant la tête. Et pour cause, la noix comme la tête sont constituées de deux hémisphères. À l’époque, savaient-ils que l’une était grandement protectrice de l’autre ?