Le duodénum est la première partie de l’intestin grêle – la deuxième étant le jéjunum, la troisième l’iléon. Le duodénum est un véritable carrefour, qui réceptionne :
→ ce qui était le bol alimentaire devenu chyme et désormais appelé le chyle, soit une sorte de bouillie ultra mixée par l’estomac, mais chargée de macronutriments sous forme de molécules simples (si elles ont été suffisamment découpées),
→ la bile pour les graisses,
→ les sécrétions pancréatiques pour les graisses, les protéines et les sucres,
→ le mucus qui alcalinise, c’est-à-dire qu’il rend basique le tout, après l’hyper-acidité qui régnait dans l’estomac.
Les graisses ont un itinéraire bis, par la voie lymphatique, d’où quelques précautions à prendre quand on mange des graisses…
Si les protéines et les sucres (glucides) continuent leur route vers l’intestin grêle, les graisses ont un itinéraire bis. Certaines d’entre elles seront transformées pour rentrer dans une sorte de taxi (appelés chylomicrons) et faire un grand tour par la voie lymphatique, en passant par la circulation sanguine, le cœur puis le foie. Ce trajet explique les précautions à prendre quand on mange des graisses : les diminuer pour éviter les bouchons, autrement dit les plaques d’athérome à l’origine des accidents cardiovasculaires.
Toutes
les graisses
ne voyagent pas
de manière
identique.
Les acides gras saturés et insaturés à chaîne courte (huile de coco par exemple) empruntent la même route que les autres macronutriments, direction l’intestin grêle et sa barrière qui mène au foie. Pour tâcher de faire simple, arrêtons-nous un instant sur les graisses que l’on appelle acides gras.
Ceux-ci peuvent être de différentes constitutions :
– saturés, c’est-à-dire solides à température ambiante (viande, charcuterie, graisses animales : beurre, saindoux, canard, ou végétales : huile de coco ou de palme),
– insaturés, les huiles végétales liquides à température ambiante,
– polyinsaturés, les fameuses, précieuses et fragiles huiles riches en oméga 3.
Un article reprend dans le détail les lipides ou graisses ou acides gras, ce qui revient à parler de la même chose.
Le duodénum est la première partie de l’intestin grêle – la deuxième étant le jéjunum, la troisième l’iléon. Le duodénum est un véritable carrefour, qui réceptionne :
→ ce qui était le bol alimentaire devenu chyme et désormais appelé le chyle, soit une sorte de bouillie ultra mixée par l’estomac, mais chargée de macronutriments sous forme de molécules simples (si elles ont été suffisamment découpées),
→ la bile pour les graisses,
→ les sécrétions pancréatiques pour les graisses, les protéines et les sucres,
→ le mucus qui alcalinise, c’est-à-dire qu’il rend basique le tout, après l’hyper-acidité qui régnait dans l’estomac.
Les graisses ont un itinéraire bis, par la voie lymphatique, d’où quelques précautions à prendre quand on mange des graisses…
Si les protéines et les sucres (glucides) continuent leur route vers l’intestin grêle, les graisses ont un itinéraire bis. Certaines d’entre elles seront transformées pour rentrer dans une sorte de taxi (appelés chylomicrons) et faire un grand tour par la voie lymphatique, en passant par la circulation sanguine, le cœur puis le foie. Ce trajet explique les précautions à prendre quand on mange des graisses : les diminuer pour éviter les bouchons, autrement dit les plaques d’athérome à l’origine des accidents cardiovasculaires.
Toutes
les graisses
ne voyagent pas
de manière
identique.
Les acides gras saturés et insaturés à chaîne courte (huile de coco par exemple) empruntent la même route que les autres macronutriments, direction l’intestin grêle et sa barrière qui mène au foie. Pour tâcher de faire simple, arrêtons-nous un instant sur les graisses que l’on appelle acides gras.
Ceux-ci peuvent être de différentes constitutions :
– saturés, c’est-à-dire solides à température ambiante (viande, charcuterie, graisses animales : beurre, saindoux, canard, ou végétales : huile de coco ou de palme),
– insaturés, les huiles végétales liquides à température ambiante,
– polyinsaturés, les fameuses, précieuses et fragiles huiles riches en oméga 3.
Un article reprend dans le détail les lipides ou graisses ou acides gras, ce qui revient à parler de la même chose.
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