Qu’on appelle aussi fabaceae ou fabacées.
– Les lentilles
Vertes, blondes, corail, Beluga.
– Le soja
Légumineuse riche en protéines dont il faut toutefois se méfier. En effet, le soja a des effets œstrogéniques, dus à sa teneur élevée en isoflavones, c’est-à-dire qu’il tend à diminuer le taux de testostérone chez les hommes et à augmenter celui d’œstrogène chez les femmes. Ces composés actifs sont des perturbateurs endocriniens, naturellement présents dans le soja. C’est la raison pour laquelle il est recommandé de réduire, voire d’éviter la consommation de soja chez les enfants.
– Les châtaignes
Des amylacées comme les petits pois, les patates douces et plantain, les châtaignes sont reminéralisantes, contrairement aux autres légumineuses plus acidifiantes (hormis le soja et les haricots rouges), digestes et réchauffantes l’hiver (la Nature est bien faite, c’est justement la saison).
– Les petits pois et leur version séchée, les pois cassés
– Les haricots
Noirs, blancs, cocos ou lingots, flageolets et mogettes (à ne pas confondre, surtout si vous vous adressez à un Vendéen), rouges, azukis ou haricots rouges du Japon, pinto ou roses, mungo ou soja vert, niébés qu’on appelle aussi cornilles, dolique mongette ou encore, haricots à œil noir, etc.
– Les pois chiches
Sous forme de farine pour quantité de recettes méditerranéennes (la socca et la panisse notamment), de tahin (ou tahini, tahina, téhina ou tahiné, au choix) ou purée de sésame utilisée dans la cuisine orientale comme condiment dont le houmous, ou encore entiers, en salade assaisonnés d’huile de sésame et de graines multiples, qui sont autant de protéines végétales.
– Les fèves
La saison est brève ! Profitez-en.
– Le lupin
– Les patates douces et plantains