Qui ne s’est pas un jour posé la question de savoir s’il était meilleur pour la santé de manger une banane mûre ou moins mûre ?! La réponse est double, à l’image de la publicité des années 80, qui vantait de « manger la banane par les deux bouts ».
Mûre, une banane sera en quelque sorte pré-digérée, donc plus digeste, par ses propres enzymes qui découpent les grosses molécules en toutes petites. En revanche, elle sera plus sucrée, avec un indice glycémique plus élevé (65) que celui de sa copine moins mûre (40). En effet, les sucres complexes de la banane verte deviennent de plus en plus simples au fur et à mesure de la maturation. La banane mûre aura aussi tendance à perdre de ses vitamines et minéraux (potassium notamment), tandis qu’elle gagnera en antioxydants. Une banane moins mûre sera donc moins digeste, mais plus riche en micronutriments et davantage régulatrice d’énergie. Encore faut-il bien la mâcher.
En somme,
tout dépend
par quel bout
on la prend.
Pourtant, quelque soit son degré de maturité, sans être noire non plus, une banane est alcalinisante et riche en tryptophane. Elle est en définitive un super aliment – si elle est consommée avec modération – et bon marché, même en bio.
Une astuce, si vous n’avez qu’une banane un peu trop verte sous la main : l’écraser à l’aide d’une fourchette – ce qui la pré-digère mécaniquement, en détruisant une partie de ses fibres – et l’arroser d’un filet de citron, pour prévenir l’oxydation. Ou bien faire cohabiter votre banane et une pomme ou une poire pendant un jour ou deux : votre banane sera à point. Les bananes, comme d’autres fruits ou légumes qu’on appelle « climactériques », continuent de mûrir après récolte grâce un gaz accélérateur de maturation, l’éthylène.
Qui ne s’est pas un jour posé la question de savoir s’il était meilleur pour la santé de manger une banane mûre ou moins mûre ?! La réponse est double, à l’image de la publicité des années 80, qui vantait de « manger la banane par les deux bouts ».
Mûre, une banane sera en quelque sorte pré-digérée, donc plus digeste, par ses propres enzymes qui découpent les grosses molécules en toutes petites. En revanche, elle sera plus sucrée, avec un indice glycémique plus élevé (65) que celui de sa copine moins mûre (40). En effet, les sucres complexes de la banane verte deviennent de plus en plus simples au fur et à mesure de la maturation. La banane mûre aura aussi tendance à perdre de ses vitamines et minéraux (potassium notamment), tandis qu’elle gagnera en antioxydants. Une banane moins mûre sera donc moins digeste, mais plus riche en micronutriments et davantage régulatrice d’énergie. Encore faut-il bien la mâcher.
En somme,
tout dépend
par quel bout
on la prend.
Pourtant, quelque soit son degré de maturité, sans être noire non plus, une banane est alcalinisante et riche en tryptophane. Elle est en définitive un super aliment – si elle est consommée avec modération – et bon marché, même en bio.
Une astuce, si vous n’avez qu’une banane un peu trop verte sous la main : l’écraser à l’aide d’une fourchette – ce qui la pré-digère mécaniquement, en détruisant une partie de ses fibres – et l’arroser d’un filet de citron, pour prévenir l’oxydation. Ou bien faire cohabiter votre banane et une pomme ou une poire pendant un jour ou deux : votre banane sera à point. Les bananes, comme d’autres fruits ou légumes qu’on appelle « climactériques », continuent de mûrir après récolte grâce un gaz accélérateur de maturation, l’éthylène.